Top Tags

Author studiowalter

Les étages secrets

Kolmanskop, ville fantôme de Namibie

  • Kolmanskop, Namibia, photo de Alvaro Sanchez-Montanes sur Fuck yeah ghost towns (via Clara O.). Kolmanskop was a small mining village. It developed after the discovering of diamonds around the year 1908, to provide shelter for workers from the harsh environment of the Namib Desert. The village was built like a German town, with facilities like a hospital, ballroom, power station, school, theatre, sport-hall, casino, ice factory and the first x-ray-station in the southern hemisphere. It also had a railway line to Lüderitz, a nearby village. The town declined after World War I as diamond prices crashed, and operations moved to Oranjemund. It was abandoned in 1956 but has since been partly restored. The geological forces of the desert mean that tourists can now walk through houses knee-deep in sand.
  • Kolmanskop sur Wikipedia (français)
  • Yves Marchand et Romain Meffre – Ruins of Detroit 
  • 100 Abandoned houses, via Sammy Stein

Lignes fictives

  • Gustave Brunet, Imprimeurs imaginaires et libraires supposés; étude bibliographique, suivie de recherches sur quelques ouvrages imprimés avec des indications fictives de lieux ou avec des dates singulières, 1866 – sur Google Books.

Musée d’Art Moderne département des aigles

En 1968, Marcel Broodthaers a ouvert chez lui à Bruxelles un musée fictif, le Musée d’Art moderne (Section XIXe siècle) Département des Aigles. Il avait inscrit le nom du musée sur ses fenêtres et peuplé l’appartement de caisses de transport d’œuvres qui n’affichent que le nom et les marques de leur lieu de destination.

 

Au théâtre du mystère

  • Hergé, Tintin et les 7 boules de cristal, Casterman
  • John Buchan, Les 39 marches (1915) ; Alfred Hitchcock, The 39 steps (1935)
  • Mikhaïl Boulgakov, Le maître et marguerite (1967)

Canterbury

Heretik à Molitor

Soirée Heretik à la piscine Molitor, Paris, 2001

L’encyclopédie des guerres section bibliothèque

« L’Encyclopédie des guerres est un chantier littéraire qui ne prendra jamais la forme d’un livre. Celle-ci s’élabore progressivement au fil de conférences-performances, lors de rendez- vous mensuels au Centre Pompidou, depuis septembre 2008 et pour une durée illimitée. Je constitue pour ce faire ce que je nomme une « Bibliothèque de guerre », accumulant de manière hasardeuse tous les ouvrages, essais, récits, livres techniques traitant du sujet de la guerre jusqu’en 1945. Je ne m’impose aucun corpus a priori, ne me mets pas en quête des ouvrages jugés capitaux ou incontournables. Je ne suis ni historien, ni spécialiste de polémologie. Je collectionne des phrases, des termes, des images, des légendes, des anecdotes, les réunissant en un impraticable cabinet de curiosités qui prend naturellement la forme d’une encyclopédie. Une impossible Encyclopédie des guerres, de L’Iliade à la Seconde Guerre mondiale. Ayant décidé de me consacrer exclusivement à ce chantier d’écriture, je me dois d’en tirer les conclusions: je décide de me séparer de ma bibliothèque, « classique » et accepte que seule la guerre constitue dorénavant mon horizon. Aussi je me propose d’échanger pendant une année les livres de ma bibliothèque personnelle contre tous types de publications que l’on m’amènera, à la condition qu’ils aient pour sujet un aspect des guerres depuis l’Iliade jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale.» Jean-Yves Jouannais

Une maison en Irlande (1979-1982)

Pavillons blancs